J’ai souvent l’occasion de discuter avec des représentants commerciaux de grandes entreprises, sans aucun rapports avec le monde de la musique, et je reste vraiment admiratif devant leur capacité à mener et adapter leur conversation.  J’imagine que contrairement à moi, qui ne sais jamais trop comment aborder une conversation, ils ont l’habitude d’affiner leur discours jour après jour et en connaissent toutes les ficelles.

C’est un peu comme en musique, moins on écrit de morceaux, moins on arrive à en écrire. Le plus important c’est donc de continuer coûte que coûte, même si le résultat n’est pas satisfaisant.